VERITE

"Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent." André Gide

"Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité." Jules Renard

"La vérité est le soleil des intelligences." Luc de Clapiers

"Je me sens parfaitement honnête homme, c'est-à-dire dévoué, capable de grands sacrifices, capable de bien aimer et de bien haïr les basses ruses, les tromperies."

La vérité n'est pas faite pour consoler comme une tartine de confitures qu'on donne aux enfants qui pleurent. Il faut la rechercher, voilà tout, et écarter de soi ce qui n'est pas elle.

G. Flaubert

"Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité." Charles De Gaulle (Mémoires)

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jeudi 16 juin 2011

Saint Martin encore un quartier oublié seul le port compte

SAINT-MARTIN, patron des Anes naquit en Pannonie aux confins des années 316 et de l'an 317, dans cette ancienne contrée d'Europe centrale, située entre le Danube et l'Illyrie, comprise entre les Alpes Orientales et les Carpates, et qui avait été soumise aux Romains de 35 avant J.C à 95 après J.-C.


Le célèbre apôtre des Gaules était le fils d'un officier de la Cavalerie Romaine, mais personne ne peut dire avec exactitude aujourd'hui de quelle race il était exactement. Lorsque son père termina sa carrière militaire, il reçut quelques lopins de terre dans la région de Pavie, en Italie et c'est là que Martin fut élevé.


A l'âge de 10 ans, Martin se présenta de sa propre initiative pour recevoir l'enseignement de l'église chrétienne qui se trouvait alors dans les premières années qui suivaient les persécutions. Mais les parents de Martin étaient restés païens, alors que le jeune homme ne rêvait que de vie monastique, son père l'inscrivit de force sur le rôle des cavaliers de l'armée.

C'est au cours du passage de sa cohorte romaine dans les environs d'Amiens où il fut sans doute baptisé en 339 que se situe la plus populaire anecdote de la vie de Saint Martin. A l'âge de 18 ans alors qu'il faisait route à cheval, il rencontra un mendiant, pauvrement vêtu dans le froid hivernal, et, dégainant son épée, il tailla en deux sa cape pour en donner la moitié au pauvre.
 

Ce geste de couper une cape en deux parties pour n'en donner que la moitié peut évidemment être jugé curieux pour un chrétien, mais il faut savoir que tout militaire romain devait payer la moitié de son uniforme. L'autre moitié restant propriété de la cavalerie, il est bien évident que saint Martin ne pouvait s'en défaire, au risque d'être accusé de détourer les deniers publics. Il est bien évident que ce geste, répondant aux principes qu'il avait appris dans l'évangile, était aussi en quelque sorte une manière de tourner en dérision les principes militaires auxquels il était astreint contre son gré.



Aprés l'origine du nom passons aux choses sérieuses. Pour Henry Lemoine et son "équipe" le quartier de Saint Martin ne se résume qu'en un seul mot CAPITAINERIE, enfin en trois il faut rajouter PORT et HALTE FLUVIALE. Comme disait Coluche "pour le(s) reste(s) circulez y'a rien à voir!"



Un site pour la défense  des habitants du quartier et une association ont vu le jour. De suite en bon lieutenant d'Henry Lemoine le sieur  Jean François Moutet a tenté de s'y introduire mais a été selon mes sources refoulé lors de la réunion de présentation.

(ce même Moutet  est convoqué devant le tribunal correctionnel le 19 septembre 2011 pour y répondre de prise illégale d'intérêt), 

http://www.bienvivreastmartin.fr/

le site de l'association qui oeuvre pour une meilleure qualité de vie
 




Saint Martin où la "Capitreainerie" d'Henry Lemoine est loin de faire l'unanimité contrairement à ses allégations et ses déclarations habituelles du genre :
"tous les restaurateurs que j'ai interrogés y sont favorables" 

questions lesquels ?
  
"je ne vais pas vous révéler leurs noms "
ou encore :
"je ne suis pas au courant de ces remarques" 
"je vais me renseigner"
"On va faire une réunion"
"je vais m'en occuper"


Il serait bon de savoir avant toute dépense supplémentaire, combien rapporte chaque année à la commune le port et l'aire de la halte fluviale, et combien cela pèse ou a pesé sur les dépenses municipales. Ensuite bien  faire la comparaison pour juger si les deniers des mussipontains sont gérés avec sérieux par Henry Lemoine sur ce sujet, car il s'agit des impôts que chaque contribuable mussipontain paye tous les ans.
Mais, si sur son projet de capitainerie, (dont le coût total n'est pas encore certain cela va de 500 000,  800 000,   1 000 000€ plus peut être ?) Henry Lemoine est plus que prodigue, voire bavard pour nous distiller ses faux arguments, en matière de chiffres pour les dépenses c'est le black-out total, plus rien, du flou, du vague, de la fumée et  on revient aux sempiternels on m'a dit que... tout le monde est pour... des gens contre je ne suis pas informé...bla bla bla et bla bla bla, j'oubliais le oui oui de base !




Il serait bon qu'Henry Lemoine cesse de gaspiller l'argent des mussipontains en le jetant non pas par les fenêtres, (car on pourrait le ramasser  et l'employer ailleurs) mais dans ses projets personnels pharaoniques au bénéfice de quelques uns.
Epinal survivrait grâce à son port, quelle rigolade, seuls les émissaires du maire comme Jean-François Moutet  et Geneviève Martin qui ont été voir sur place ( et certainement pas sur leurs propres deniers) peuvent croire ou ont pu avancer des inepties pareilles. 
Si Philippe Seguin entendait  cela  il se retournerait dans sa tombe lui qui a tout fait pour diversifier les atouts de sa ville, "On ne met pas tous ses œufs dans le même panier " m'avait-il dit un jour.

Ci-dessous un livre que je conseille à tous dont la préface aurait pu être faite par Henry Lemoine :



Pour finir un petit proverbe 


Saint Martin, aide toi le ciel t'aidera !

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