Il faut dire, pour trouver une excuse à notre bon Henry (Lemoine bien sûr, ce grand disciple de Caliméro), que se mettre à l'ordinateur à 1h30 du matin après une journée bien remplie (nous faisons ici allusion à un autre de ses "post" où il était question de sa journée de "travail") cela explique quelque peu les bêtises et les contre vérité que l'on puisse y trouver.
J'aime pas la Marseillaise... suite et fin
http://fdg-pam.blogspot.fr/2012/03/reponse-de-fabien-allait-larticle-de-mr.html
Réponse de Fabien Allait à l'article de Mr Henry Lemoine
Suite à l’article du maire de Pont-à-Mousson, Henry Lemoine, sur son blog personnel, je tiens à apporter une réponse concernant l’attaque dont je suis, par sous entendus, la cible.
J’étais présent hier soir à la cérémonie de commémoration des accords d'Evian qui a permis le « cessez le feu » du conflit en Algérie. Des deux cotés, ces accords ont permis de retrouver une sérénité et de poser la première pierre de la réconciliation nationale. Les combattants de métropole et d’Algérie ont depuis longtemps déclaré le conflit terminé et vivent en parfaite harmonie. Jamais, je ne me suis dressé contre l’hymne national, la Marseillaise. Enfant du bassin mussipontain, j’ai depuis toujours assisté aux cérémonies, hommages aux anciens combattants et beaucoup peuvent témoigner de mon attachement à notre patrie républicaine et à son chant fondateur. La conversation dont mes propos sont détournés, avec l’ancien combattant en question date elle de la dernière campagne des élections cantonales, où j’ai été candidat, en Mars 2011. Il m’en a fait allusion en me croisant hier, et je lui ai fourni les explications nécessaires au sujet de ce quiproquo. Dire que La Marseillaise ne doit pas être utilisée pour diviser les gens n’est pas dire qu’on « n’aime pas la Marseillaise » comme l’écrit perfidement Mr Lemoine. C’est au contraire manifester un grand respect pour ce chant patriotique. Je ne pense pas d’ailleurs qu’il était de la volonté de la personne avec qui j’ai discuté que notre dialogue soit repris et déformé, à des fins politiques douteuses. Si mes propos ont été incompris, je suis prêt à m’en expliquer et à en débattre avec le maire de Pont-à-Mousson, qui n’a pas été témoin de la conversation.
Concernant les allusions mettant en lien les drames de Toulouse et de Montauban, qui nous ont tous touchés et émus, je les trouve scandaleuses et indignes des paroles d’un élu de la République en ce jour d’union nationale. Henry Lemoine, dont la famille politique tient des propos sur les français, leurs religions, leurs origines rappelant les tristes heures de l’histoire française au 20ème siècle, n’a pas à me donner, à nous donner des leçons de patriotisme. La démocratie doit permettre l’expression de chacun dans le respect des lois et des règles morales fondamentales.
Les deux versions divergent à tout le moins, pour ne pas dire sont totalement contradictoires.
Pour nous, la question de savoir qui dit "vrai" et qui dit "faux" est vite résolue !
En effet nous avons pu voir déjà à maintes reprises, la partialité et l’honnêteté des propos d'Henry Lemoine mises en défaut lors de ses compte rendus informatiques nocturnes de certaines séances du conseil municipal, alors que nous avions pris la peine d'enregistrer celles-ci (hélas pour lui) de manière tout à fait légale et conforme, avant de les mettre en ligne...
comme le 29 juin 2011, où vous avez été plus de 840, et plus de 1080 le 21 octobre 2011 à venir constater que les écrits d'Henry Lemoine étaient à cent lieues de retracer l'exacte vérité des débats qui avaient eu lieu.
http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2011/06/normal-0-21-fini-le-temps-des-mensonges.html
http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2011/10/les-eternels-mensonges-dhenry-lemoine.html
Ce comique troupier de seconde zone qui sert de maire (à mi temps depuis 1995), mais élu en 2010 par moins d'un électeur sur quatre (2298 voix sur 9433 électeurs inscrits) a encore sévi sur son blog en diffusant un tas de contrevérités et d'inepties.
Il serait temps que les Mussipontaines et les Mmussipontains se dirigent enfin massivement une bonne fois vers les urnes
pour éviter que par un déni de citoyenneté voire de civisme, de telles aberrations puissent encore perdurer :
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