Les mésaventures d'un copieur sachant copier !
Nous sommes bien d'accord, Xavier tu es affligeant...
Que tu copies à tout bout de champ les divers articles et commentaires sur internet pour te les approprier et te donner ainsi un petit semblant d'envergure politique dans ta quête éperdue de la renommée, cela passe encore, car il est bon nombre de politicards de troisième ordre qui ont commencé ainsi et les exemples locaux ne manquent pas...
Mais dans ce cas il faut, même en tout petit (comme par exemple au dos des contrats d'assurance), citer l'auteur et/ou sa source sinon c'est du plagiat, c'est répréhensible et cela peut se finir devant un tribunal...
Voila la copie (même pas intégrale):
http://www.xavierbertelle.com/article-quelle-croissance-pour-demain-102149239.html
Tous les économistes phosphorent pour faire des propositions toutes plus séduisantes les unes que les autres afin que la France s'inscrive dans une stratégie de croissance.
La France se casse la figure. Ce n'est pas qu'une image. La récession est donc d'abord une affaire géographique et la France ne pourra résister longtemps à la crise avec une France riche et une France pauvre.
Et pourtant, nos atouts sont réels et rappelés par Maurice Lévy, le Président de l'association française des entreprises privées (AFEP) : « La France est la cinquième puissance mondiale, a un excellent niveau de recherche dans la médecine, la haute technologie, le nucléaire, le spatial, le ferroviaire ; des entreprises ultra-performantes, leaders dans bien des secteurs : l'énergie, le transport, le bâtiment, l'aérien, la banque, le luxe, le tourisme, l'assurance, l'automobile, les services informatiques, la distribution... »
Bien mieux, nous avons plus d'entreprises classées dans le Fortune 500 que nos voisins allemands ou britanniques. Il y a seulement 20 ans, c'était l'inverse.
Alors cessons de pleurer. Relevons nos manches car, après l'assainissement de nos finances publiques, nous disposerons de réelles possibilités de regagner les marchés et d'assurer la croissance.
Il faut bien sûr réformer l'Etat, simplifier et décentraliser. Il faudra rompre avec nos habitudes de doublons administratifs, consolider les services, simplifier les procédures, sortir d'un univers Kafkaïen français reposant sur le principe suivant : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? »
Le but dans une économie mondialisée n'est pas de produire de tout, c'est de se concentrer sur les secteurs où l'on peut faire la différence. Mais rien ne se fera sans un dialogue social rénové, aussi bien au sein des entreprises que des administrations.
Le modèle suédois est souvent cité en exemple. Selon Philippe Aghion, Professeur à Harvard : « Dans une économie où la croissance repose sur l'innovation, on ne peut pas traiter les rentes de l'innovation comme on traite les revenus des innovateurs. Les Suédois en 1991 ont introduit une taxation forfaitaire sur les revenus du capital productif à 30 % et ont baissé les impôts sur les sociétés. L'effet sur l'innovation a été radical avec une augmentation sensible du nombre annuel des brevets et un taux de croissance moyen de 2 à 3 % par an. »
Ces propositions sont innovantes. Elles rappellent avec force les principes de base qui sont les fondamentaux d'une économie rénovée : la compétitivité, la création, le dialogue social, la formation.
Il serait sans doute préférable d'essayer de construire plutôt que de vouloir détruire, de s'écouter plutôt que de se ridiculiser ou de s'ignorer.
C'est sans doute trop demander.
Voila l'original (qui date de plusieurs jours)
http://alaintourret.blogspirit.com/archive/2012/03/16/quelle-croissance-pour-demain%C2%A0.html
en bleu fluo ce qui n'a pas été copié
16.03.2012
Quelle croissance pour demain ?
Tous les économistes phosphorent pour faire des propositions toutes plus séduisantes les unes que les autres afin que la France s'inscrive dans une stratégie de croissance.
La France se casse la figure. Ce n'est pas qu'une image. L'Europe vient de publier des tableaux très instructifs établissant pour 2009 le PIB par habitant en pourcentage de la moyenne européenne. En dix années, la Basse-Normandie est passée de 95 % à 84 %. La fracture française est désormais une réalité tangible, trois régions dominent : l'Ile de France qui tire vers le haut la richesse française avec 177 %, Rhône-Alpes suit avec 109 % talonnée par l'Alsace avec 102 %. Trois bonnets d'âne : la Picardie avec 83 %, le Limousin et la Basse-Normandie avec 84 %.
La récession est donc d'abord une affaire géographique et la France ne pourra résister longtemps à la crise avec une France riche et une France pauvre.
Et pourtant, nos atouts sont réels et rappelés par Maurice Lévy, le Président de l'association française des entreprises privées (AFEP) : « La France est la cinquième puissance mondiale, a un excellent niveau de recherche dans la médecine, la haute technologie, le nucléaire, le spatial, le ferroviaire ; des entreprises ultra-performantes, leaders dans bien des secteurs : l'énergie, le transport, le bâtiment, l'aérien, la banque, le luxe, le tourisme, l'assurance, l'automobile, les services informatiques, la distribution... »
Bien mieux, nous avons plus d'entreprises classées dans le Fortune 500 que nos voisins allemands ou britanniques. Il y a seulement 20 ans, c'était l'inverse.
Alors cessons de pleurer. Relevons nos manches car, après l'assainissement de nos finances publiques, nous disposerons de réelles possibilités de regagner les marchés et d'assurer la croissance.
Il faut bien sûr réformer l'Etat, simplifier et décentraliser. Il faudra rompre avec nos habitudes de doublons administratifs, consolider les services, simplifier les procédures, sortir d'un univers Kafkaïen français reposant sur le principe suivant : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? »
L'intervention économique de l'Etat et des collectivités territoriales ne peut, si l'on veut être efficace, toucher à tout. « Le but dans une économie mondialisée n'est pas de produire de tout, c'est de se concentrer sur les secteurs où l'on peut faire la différence. » Dans notre région normande, il faut mettre le paquet sur les énergies marines, sur le tourisme et enfin l'agro-alimentaire tout en s'attachant à maintenir l'existant, à savoir la sous-traitance automobile.
Mais rien ne se fera sans un dialogue social rénové, aussi bien au sein des entreprises que des administrations.
Hier soir, François Hollande était l'invité de l'émission de télévision « des paroles et des actes ». Les modèles canadiens et suédois ont été cités en exemple. Selon Philippe Aghion, Professeur à Harvard : « Dans une économie où la croissance repose sur l'innovation, on ne peut pas traiter les rentes de l'innovation comme on traite les revenus des innovateurs. Les Suédois en 1991 ont introduit une taxation forfaitaire sur les revenus du capital productif à 30 % et ont baissé les impôts sur les sociétés. L'effet sur l'innovation a été radical avec une augmentation sensible du nombre annuel des brevets et un taux de croissance moyen de 2 à 3 % par an. »
Ces propositions sont innovantes. Elles rappellent avec force les principes de base qui sont les fondamentaux d'une économie rénovée : la compétitivité, la création, le dialogue social, la formation.
Les émissions politiques à la télé deviennent de plus en plus des combats de coqs de basses-cours. Chacun monte sur ses ergots sans grande efficacité. Elles ennuient de plus en plus de Français. Il serait sans doute préférable d'essayer de construire plutôt que de vouloir détruire, de s'écouter plutôt que de se ridiculiser ou de s'ignorer.
C'est sans doute trop demander.
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LAMENTABLE |
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Alors un peu moins de copié collé et un peu plus de cervelle et de travail perso, mais il est vrai comme le disait fort justement Coluche :
"l'intelligence est la chose la mieux répartie dans le monde, car quoi qu'il en soit pourvu chaque individu a toujours l'impression d'en avoir assez vu que c'est avec elle qu'il juge!"
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