Sous
le titre pompeux de Passage en revue notre quotidien fait l'éloge des (in) actions
du menteur et incompétent notoire Henry
Lemoine. Nous, nous allons les regarder une par une et de plus prés. Nous proposons déjà le titre plus réaliste
de Contes et Légendes mussipontains oubliés, ou le roman d'un menteur.
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Etre maire en onze mensonges |
Petite enfance
Confier la garde des petits enfants à une structure (l'ADMR),
mise en cause lors du décès d'un de ses
clients, qui livre dans la rue et
durant trois jours de suite, les
repas à une personne âgée, sans s'inquiéter de la présence des plateaux
intacts de la veille c'est un gage de responsabilité ne pensez
vous pas Monsieur Lemoine ?
Pour les
Chérubins cela fait des années que Henry Lemoine ignore les demandes (pourtant
raisonnables et nécessaires du personnel) pour assurer un accueil de qualité et
dans de bonnes conditions, rappelez vous l'épisode en 2011 de la chasse aux
rats…
sur http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2011/09/chat-alors.html notre article "Chat alors" de septembre 2011
Et pour l'accessibilité des personnes à mobilité réduite cela fait des
années qu'Henry Lemoine est l'exemple de ce qu'il convient de ne pas faire, avec toujours ses mêmes promesses toujours ses mêmes discours (Demain je rase gratis,
sans rire cette fois c'est vrai) et que bien entendu toujours rien ne vient. Mais comme le
disait fort justement Jean François Moutet alors opposant farouche (lire avant
d'être lui aussi dans le fromage) "les promesses d'Henry Lemoine n'engagent que
ceux qui y croient" !
La Capitânerie
Ce n'est qu'un restaurant de plus
pour Pont à Mousson où l'offre était déjà largement suffisante (source les restaurateurs
de Saint Martin et du centre ville). Un
restaurant qui fixe les clients au port bien en dehors du circuit du centre ville
et donc n'apporte aucune plus-value au commerce et au tourisme
mussipontain. Ce n'est que de la concurrence déloyale pour la plus part des
restaurateurs interrogés, mais ça, Henry Lemoine fait la sourde oreille et met
en avant les paroles (imaginaires) d'une majorité fictive de professionnels
aussi nombreux qu'anonymes. A ce sujet il serait intéressant de connaître le
montant du loyer pratiqué, pour voir s'il est dans la fourchette des tarifs de
location pour ce type de commerce, car c'est le seul restaurant financé par
l'argent de vos impôts, et son coût
exorbitant (pour le moment plus de 800 000€ pour un bâtiment banal sans
aucune originalité) est à mettre en
parallèle avec celui la capitainerie
d'Epinal qui n'a coûté elle que 243 000 € (valeur rapportée en 2011 à 292 000€
avec l'inflation).
sur http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2012/06/la-capitaine-rit-et-les-contribuables.html Mais il est vrai que
Philippe Seguin le maire d'Epinal savait lui ce que c'était que de faire
les comptes, surtout avec l'argent public.
La capitainerie d'Epinal avait en
2008/2009 bien fait l'objet d'un "voyage d'étude" d'un certain nombre
d'élus de Pont à Mousson parmi lesquels
il y avait Jean François Moutet et Geneviève
Martin, mais personne de l'opposition, démocratie Lemoinesque oblige !
Le CTM
Pour ce qui est du C.T.M. le centre
technique municipal Henry Lemoine met en avant une autre de ses nombreuses
boulettes de gestionnaire d'opérette, une acquisition scabreuse, inconsidérée, décidée en catimini sans
consultation (encore une fois) lors d'une ballade à Paris, un projet surdimensionné pour ne pas dire pharaonique (son opportunité fut dénoncée par la
cour des comptes dans son dernier rapport sur http://www.ccomptes.fr/Publications/Publications/Commune-Pont-a-Mousson-Meurthe-et-Moselle2). Une situation si catastrophique
qu'il a fallu trouver des palliatifs d'urgence pour combler le gouffre, dont
l'installation de la crèche associative et la location de ses espaces inutiles
et inutilisés au CFA pour quelques temps.
La rue Victor Hugo
Prévoir des travaux de voirie en
pleine foire au bœuf il fallait le faire exprès,
Henry Lemoine l'incompétent de la place Duroc l'a fait. Le commerce
mussipontain se porte tellement bien (sûrement grâce à toutes les inactions
entreprises par Henry Lemoine et Veronique Mornet son adjointe au commerce,
aucune réalisation dans le cadre du FISAC de juin 2009 à mai 2012, des projets
bidons et ubuesques, aucune réunion de la commission commerce et développement
économique depuis décembre 2010,
participation à minima aux actions conjointes de la CCI et d'Atoutpont à qui
Henry Lemoine a coupé les vivres en 2010 pour des raisons purement personnelles et infondées). Le commerce mussipontain
pouvait-il supporter ce handicap supplémentaire en pleine période des soldes ? Il
est vrai qu'accéder aux commerces de notre centre ville est d'une simplicité
affolante, avec ses nombreux parkings aussi fictifs qu'aéro-souterrains notre cité offre prés de 2000 emplacements de stationnement (rappel du dépliant du candidat Lemoine en septembre 2007), emplacements qui sont utilisés à plus de 95 % par les usagers de la SNCF venant des extérieurs.

Les travaux de la
rue Victor Hugo auraient pu être réalisés dans les règles de l'art (en respectant les contraintes d'un site
historique) depuis longtemps déjà (le conseil général avait budgété les
travaux, mais Henry Lemoine n'en voulait pas et il a fait traîner les choses). Il a du s'y résigner et en
désaccord total avec l'ABF il n'a pas respecté ses prescriptions (voir le courrier de juin 2012 sur http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2012/09/la-rue-victor-hugo-deux-pods-deux.html) ni ses
recommandations ce qui constitue une entorse plus que sévère au règles
d'urbanisme en matière de voirie. Où un simple particulier aurait été
poursuivi et sommé ("manu militari") de se conformer de force au
prescriptions, Henry Lemoine se moque. Nous en concluons qu'il y a deux
règlements à Pont à Mousson un pour le peuple l'autre pour Henry Lemoine.
Procheville
A l'époque où le président de
l'association gestionnaire du foyer ne s'appelait pas Jean François Moutet, les
relations n'étaient pas excellentes
surtout depuis l'affaire de l'incendie du troisième étage en 2006 si on en
croit plusieurs rapports de la direction et plusieurs courriers du député Jean Yves
Le Déaut, à voir sur http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2012/09/cure-de-jouvence-au-repaire-de-la-bande.html. Il est vrai qu'un propriétaire
(en l’occurrence Henry Lemoine en tant que Président Directeur Général de la SAEIM puis
de la SEMPAM) qui laisserait son
locataire dans les ennuis, ne pouvant plus utiliser une bonne partie des locaux
loués durant des années cela fait un peu désordre, d'autant plus que la
structure en question a été obligée de recourir à la mise en redressement
judiciaire et au licenciement d'une partie du personnel en 2008. Il est
seulement assez surprenant de constater que les choses ne se sont enfin
arrangées qu'après l'arrivée en 2009 de Jean François Moutet et de son équipe (avec entre autres Dominique F. et Mario K. ), simple coïncidence peut être.
Les abords de la gare
Une étude (SNCF-Région Lorraine) datant de 2004 mettait en avant les
problèmes inhérents au stationnement massif
des usagers extérieurs venus à Pont à Mousson pour y prendre leur train
(première gare de statut régional en nombre de voyageurs). En 2006 une seconde
étude plus poussée et plus précise dans le cadre du Contrat de Projet 2007/2013
confirmait que la ville de Pont à Mousson devait (et pouvait) être
inclue dans le cadre de la création de 16 pôles régionaux d'échanges
prioritaires. Plusieurs organismes dont le FEDER (Fonds européen de développement régional) et l'Etat étaient prêts à accompagner financièrement les
projets. En 2007 sortie du dépliant
électoraliste de propagande d'Henry Lemoine qui annonçait gaillardement la
création (grâce à lui voir plus haut) de 220 places de parking au centre gare alors
que celles-ci n'ont été réalisées que sous la contrainte, (toujours
selon le rapport), sur les emprises SNCF
( parties de terrain appartenant à la SNCF de chaque coté des voies). Mais
depuis l'occupation des emprises de la SNCF (à peine goudronnées et pas même
désherbées par endroit ) aucune autre solution durable rien n'a été envisagé
ni proposé par Henry Lemoine et son
équipe. La ville n'a pas ni repris contact avec la Région pour examiner les
modalités de mise en place du pôle d'échange, ni missionné de maître d'œuvre pour rendre le projet
opérationnel. Selon le rapport la municipalité ne serait pas motivée pour
poursuivre en ce sens. Comme à son habitude Henry Lemoine l'illusionniste de la place Duroc vous parle
au futur et au conditionnel, avec moult
"bientôt"
"permettra" "évoquer" "l'an prochain"
"on envisage", toujours les promesses depuis 1995 et rien d'autre.
Le parking aérien
Il était (une fois) souterrain en 2008 caché sous la
place Duroc pour les municipales mais
il ne déboucha sur rien, car c'était même pas
de la mauvaise fiction c'était IRREALISABLE. Puis il prit son envol et devint aérien en
novembre 2008 dans le cadre de la mise en place des investissements communaux de la troisième et dernière
tranche du Fisac ( juin 2009 mai 2012),
Mais là encore rien ne fut fait alors que
cette fois c'était réalisable en lieu et place
du CTM surdimensionné à 2 900 000€
et d'une capitânerie inutile
à 800 000€. Le roi mussipontain des promesses Henry Lemoine (certainement pour les municipales de 2014) nous le ressort du chapeau avec ses
termes choisis "envisager", "intention", "pourrait". Henry Lemoine à
force de poursuivre la réflexion sur le sujet va-t-il finir un jour par la rattraper ? A moins qu'au prochain
scrutin c'est lui qui ne soit rattrapé par ses propres mensonges ?
La Zac de l'Embise
Le refrain du menteur Henry Lemoine est toujours le
même depuis des années. Toujours le futur de l'indicatif et le conditionnel comme temps employés,
comme vocabulaire les mêmes termes impersonnels, les tournures invérifiables,
les locutions évasives, les substantifs opaques, les adjectifs obscurs.
L'Embise, rappelez vous les articles de l'Est Républicain, "tout le monde savait depuis
longtemps" !
sur http://verite-mussipontaine.blogspot.fr/2011/12/zac-desembrouilles.html
Les découvertes à La Vitrée étaient très claires depuis des années, alors à la Zac de l'Embise à part y faire paître des moutons que peut on y faire d'autre ?
L'Embrouille est semble-t-il dans le pré… Plusieurs candidats acquéreurs (sollicités par Henry Lemoine) ont
vite fait machine arrière et jeté l'éponge au regard des contraintes
archéologiques et du surcoût des travaux obligatoires
et là pas question pour eux de pouvoir y déroger ( tout le monde ne
s'appelle pas Henry Lemoine pas question de passer à l'as). La Zac de
l'embise encore une belle boulette d'Henry Lemoine.
L'îlot Saint Martin
La pompe à essence TOTAL existait déjà puisque la première adjointe d'Henry Lemoine
y travaillait comme pompiste avant qu'elle ne soit licenciée (sans aucune indemnité semble-t-il selon
nos informations), avant que la pompe ne ferme suite à un problème de rentabilité et de disparition d'argent.
Une certaine étude notariale bien connue sur Pont à Mousson tremperait (selon
nos sources) dans l'affaire de l'ancien magasin ED, alors pour le reste comme disait Coluche "Circulez ya rien à voir" ! Cela
n'est pas sans nous rappeler l'affaire du transformateur de la place du Paradis.
Les caméras de surveillance
Ce sont des outils coûteux qui ne servent pas à grand chose à Pont à Mousson (au regard des résultats, comme
preuve les jardinières jetées dans la
Moselle du haut du Pont Gélot, les
dégradations et les vols multiples au
centre ville, les incivilités diverses et récurrentes place Duroc devant les commerces, etc…) Par contre semble-t-il, durant les campagnes
électorales elles seraient très efficaces à Procheville par exemple pour
surveiller (toujours selon nos sources) les distributions nocturnes de tracts et
permettraient également l'interception musclée des distributeurs indélicats… Mais de la à augmenter leur nombre et leur coût pour de trop brèves périodes cela nous semble assez inconvenant.
Le chantier de l'intercommunalité
La COMCOM c'est
faire de l'incompétence d'Henry Lemoine
un mode de gestion (Zac de l'Embise, la piscine, la salle Montrichard,
la médiathèque, etc) mais l'élargir et répercuter ses erreurs ses lacunes sur plusieurs autres communes nous ne voyons pas
bien l'intérêt… Enfin si, seul le président et les vice-présidents, eux le voient et le verront bien ! Il est dans l'accroissement de leurs
indemnités mensuelles qui avec le nombre d'habitants, passant la barre des 50 000, vont augmenter
substantiellement de 2 565 à 3 135€
mensuels pour le président et de 940 à 1 254€
pour chaque (un par commune) vice président, et avec tous les avantages pour la retraite. En clair plus de dépenses de
fonctionnement pour la collectivité et moins de résultats (c'est du travailler moins pour gagner plus). Car cela se cumule avec les autres indemnités de fonction et d'élu, sans parler de ceux qui occupent encore un emploi comme Henry Lemoine le fait à EDF.
Henry Lemoine se gargarise de la position
(géographique) centrale de Pont à Mousson
au cœur de la Lorraine alors que depuis la création du Sillon Lorrain
(regroupant les villes (responsables) riveraines de la Moselle d'Épinal à
Thionville) Pont à Mousson n'a jamais rien fait pour en faire partie et améliorer ainsi le contexte
économique de la cité, et le niveau de vie de ses habitants.
Voici terminé le circuit menteur, le parcours dans Pont à l'illusion, après des années d'errance il serait bon que chaque électeur de Pont à Mousson se prenne par la main et aille mettre son bulletin dans l'urne à l'occasion des prochaines municipales pour que les fausses promesses cessent et que la ville soit enfin depuis 1995 correctement gérée .
Errare humanum est, perseverare diabolicum
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