Interpellés par le titre alarmant du nouvel article d'Henry Lemoine sur son blog, blog beaucoup moins prolifique, heureusement, qu'à une certaine époque, où il nous gavait plusieurs fois par semaine de commentaires aussi oiseux qu'inutiles, censés être drôles, un peu à la manière des prestations des comiques troupiers du siècle dernier, nous avons donc lu ce "gribouillage". Le qualificatif d'article serait ici, faire injure à la profession.
Le sujet était d'une importance capitale pour la ville de Pont à Mousson, une querelle de colleurs d'affiches aux primaires socialistes, événement primordial, qu'il fallait de suite y réagir et y aller de son commentaire, nous avons appelé la rédaction de Paris Match mais ils n'étaient pas au courant.
C'était la priorité d'Henry Lemoine, alors que la ville est plongée dans l'inaction, l'immobilisme et les dettes depuis des années, que malgré quelques rustines, judicieusement disposées pour qu'on les remarque bien, l'état de la ville est lamentable.
Bravo Monsieur Lemoine je pense que les mussipontains apprécieront une fois de plus.
Cette banale histoire d'affiches nous 'en rappelle une autre plus ancienne celle là, où un certain candidat aux cantonales avait vu son affiche agrémentée d'un avantageux nez rouge ainsi que d'un commentaire volontairement "assassin" assez évocateur puis prise en photo, ne laissant aucun doute sur le niveau "élevé" de l'attaque électorale.
Au titre c'est la guerre sur Pont à Mousson, nous avons pensé de suite qu'il s'agissait de ce triste fait divers, une affaire traitée dans une étude notariale mussipontaine devenue ensuite une embrouille immobilière, qui s'est réglée au pistolet et qui a fait pour l'instant semble-t-il deux morts à quelques mois d'intervalle, à voir sur :
Alors, Monsieur 24 % des inscrits, au lieu d'occuper vos nuits à "lorgner par le trou de la serrure" à l'affut des moindres ragots et actes futiles, vous feriez bien mieux de vous mettre "au boulot" de tenir "votre" ville, d'y faire respecter la loi de notre République, afin que Pont à Mousson puisse redorer son blason à défaut d'être citée en exemple, que lorsqu'on parle de notre cité ce ne soit plus en négatif, y compris dans les rues, comme dans les prétoires.
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