Préambule :
Une opinion est un ensemble de jugements subjectifs que l'on se fait à propos d'un objet.
On parle d'une opinion personnelle si elle est émise par une personne considérée dans son individualité et d'une opinion publique ou populaire quand elle est portée collectivement par la société ou présentée comme telle.
Il est possible de distinguer le jugement d'un expert et l'opinion profane. Un jugement sur un savoir canonique est par exemple requise en droit ou en science. Dans ce cas, l'opinion du commun des mortels n'a pas la même valeur que le jugement d'un expert dans le domaine en question. Contrairement à l'opinion populaire, l'expert peut produire un jugement qui dépasse sa propre subjectivité.
Dans l'analogie de la ligne, Platon mentionne que l'opinion regroupe deux types de connaissances: la croyance et l'illusion. Dans ces deux cas, nos opinion peuvent être influencées par notre milieu social, notre caractère affectif et nos préjugés. Dans l'allégorie de la caverne, l'opinion est représentée par les ombres projetées au fond de la caverne et qui maintiennent les esclaves dans leur "prison". Toujours pour Platon, l'opinion s'oppose à la science, c'est-à-dire la connaissance hypothétique ou anhypothétique. Ainsi, on ne peut considérer l'opinion (individuelle) comme une connaissance car elle implique un jugement que l'individu se porte à lui-même, il doit se remettre en doute (comme l'explique Descartes dans ses Méditations Métaphysiques) pour atteindre le rationalisme et donc élabore la connaissance véritable. On peut parler d'expérience salutaire.
Le PRG par la voix de son Président Jean Michel Baylet, par ailleurs candidat aux primaires socialistes, n'a pas fait dans la dentelle au cours du débat sur France 2 hier soir .
Il a clairement affiché qu'il ne fallait pas se tromper sur l'adversaire, en l'occurrence Nicolas Sarkozy en particulier et en général l'UMP et tous ses "ressortissants" et leurs connivences politiques avec les plus riches.
Alors comment se fait–il qu' à Pont à Mousson, Jean François Moutet fasse avec ses acolytes du cercle du PRG de Pont à Mousson, le contraire.
Ils fustigent à la moindre prise de parole tous les socialistes locaux et font l'éloge permanente, et cautionnent sans réserve la politique d'Henry Lemoine le Maire UMP, comme par exemple dans le dossier de capitainerie et les 800 000 € gaspillés en direction des usagers du port de riches propriétaires de yachts et d'esquifs en lieu et place de privilégier les efforts vers la population et les quartiers sensibles.
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ext artcile de JC Vincent dans l'Est Républicain |
Jean François Moutet se targue enfin d'être un acteur incontournable du domaine social mussipontain, qu'il donne enfin une preuve de sa "solidarité" à titre personnel au plan financier. Quand certains personnels vont faire don d'heures de travail, que font Jean François Moutet et ses amis "de gauche", ils parlent sans cesse de solidarité mais ne la pratiquent semble-t-il, qu'avec parcimonie et à bon escient. Comme dans la pub ce sont ceux qui en parlent le plus qui en font le moins.
Pour une fois il serait normal que Jean François Moutet, ses acolytes élus du PRG et par extension tous les adjoints et conseillers municipaux rémunérés s'appliquent une baisse non négligeable de leurs indemnités (dont ils ont lors du premier conseil municipal après les élections de 2010 voté unanimement une augmentation de 8%).
Il y a eu un précédent à Pont à Mousson où un maire élu en 2009, avait consenti à une baisse de 30% de son indemnité.
Mais cela, cet exemple de civisme solidaire c'est comme la chute dans les contes pour enfants, ça c'est une autre histoire…
La solidarité avec l'argent public semble assez facile, mais cela devient plus "complexe" quand il s'agit du sien :
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