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le mythique ascenseur de la mairie de Pont à Mousson permettant d'aller assister au conseil municipal |
Les équipements en faveur des personnes à mobilité réduite leur permettant enfin d'accéder aux bâtiments publics et à leurs services, ne sont pas des priorités pour Henry Lemoine (Monsieur 24% des inscrits) qui n'a qu'un seul mot à la bouche enfin plusieurs
capitainerie,
port, et
aire des camping cars !!
Rien n'est fait à Pont par Henry Lemoine, le maire UMP cette politique est cautionnée sans réserves par le très social "homme de gauche" l'humaniste Jean-François Moutet:
Les personnes à mobilité réduite de notre ville sont moins bien loties et considérées, que les riches propriétaires de Yacht passant par le port de notre cité. Mais il est vrai que dans l'esprit d'Henry Lemoine ces propriétaires d'esquifs rapporteraient plus à Pont à Mousson...
O tempora, o mores !
Nicolas Sarkozy a réaffirmé
LE LUNDI 3 OCTOBRE 2011
l'objectif d'assurer l'accessibilité des bâtiments publics aux handicapés à l'horizon 2015 et écarté toute dérogation à cette obligation fixée dans la loi de 2005, lors d'un entretien avec des associations de handicapés.
Lors de ce rendez-vous, le chef de l’État a "réaffirmé l'intangibilité de l'objectif d'accessibilité à l'ensemble de la vie sociale (...) et demandé au gouvernement de refuser toute dérogation nouvelle à cet objectif", a rapporté l’Élysée dans un communiqué.
Cette précision intervient une semaine après une manifestation devant le Sénat de l'Association des paralysés de France (APF) pour dénoncer une proposition de loi, sur la base d'un rapport du sénateur UMP Eric Doligé,( voir ci-dessus) qui prévoit de nouvelles dérogations en matière d'accessibilité.
L'accessibilité est une obligation nationale depuis 1975. La loi handicap de 2005 l'a renforcée et rendu obligatoire la mise en accessibilité (rampes d'accès...) de tous les bâtiments recevant du public, en 2015 dernier délai, ne prévoyant que de rares dérogations.
Le président de l'APF, Jean-Marie Barbier, reçu lundi à l'Elysée, s'est réjoui des promesses de Nicolas Sarkozy, estimant que "la mobilisation de la semaine dernière a été entendue". "Nous avons insisté auprès du président (...) pour ne pas baisser la garde", a-t-il ajouté, rappelant que seuls 15% des bâtiments publics étaient aujourd'hui accessibles.
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