VERITE

"Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent." André Gide

"Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité." Jules Renard

"La vérité est le soleil des intelligences." Luc de Clapiers

"Je me sens parfaitement honnête homme, c'est-à-dire dévoué, capable de grands sacrifices, capable de bien aimer et de bien haïr les basses ruses, les tromperies."

La vérité n'est pas faite pour consoler comme une tartine de confitures qu'on donne aux enfants qui pleurent. Il faut la rechercher, voilà tout, et écarter de soi ce qui n'est pas elle.

G. Flaubert

"Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité." Charles De Gaulle (Mémoires)

Times

Bonjour et Bienvenue La Vérité Mussipontaine vous salue bien

mercredi 30 novembre 2011

Henry Lemoine UMP


L'APPEL du 29 novembre

l' UMP (en dehors des campagnes aux municipales) Henry Lemoine, 24 % des électeurs de Pont à Mousson, maire à temps partiel lance sur son blog une fervente plaidoirie pour Nicolas Sarkozy.

Logo absent pour cause de municipales

Nous aimerions bien savoir Si l'Eric Besson mussipontain ,

le très solidaire et humaniste homme de "gauche"  EX SOCIALISTE, Jean François Moutet  

JEAN-FRANCOIS MOUTET, partage-t-il encore ces/ses propos ?

Le plaidoyer d'Henry Lemoine :

Le sans faute du Président

J'ai eu l'honneur de figurer parmi les maires invités le mercredi 23 novembre à écouter le discours du Président de la République au Palais de l' Elysée. Nicolas Sarkozy qui nous recevait chez lui était plus à l'aise que l'an dernier lorsqu'il était arrivé à la Porte de Versailles dans une salle plutôt hostile.
Nous avons eu le droit à un exposé clair et très pédagogique, partant de la situation internationale, pour arriver au droit de vote des étrangers, en passant par la réduction des dépenses publiques, la réforme des collectivités territoriales rendue nécessaire par l'empilement de 8 niveaux de structures.
Point par point, le Président a exposé ses positions sur chacun des thèmes, de la même façon qu'il avait séduit l'électorat en 2007. Le mode démonstratif, dépourvu d'agressivité, mais présentant la situation économique et sociale du pays telle qu'elle est, sans démagogie,sans l'embellir ni la noircir, Nicolas Sarkozy a séduit les membres de l'auditoire qui lui étaient a priori acquis mais surtout ceux qui étaient indécis ou dubitatifs. Il n'était pas question de convaincre les opposants irascibles, mais de démontrer que le candidat de 2007 n'avait pas perdu sa capacité à analyser la situation en se mettant à proximité des Français, puis à proposer les solutions les plus logiques.
L'exercice a été une réussite.


Qui nous parlait il n'y a pas si longtemps de morale en politique ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire