VERITE

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G. Flaubert

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Times

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vendredi 2 mars 2012

La complainte du pleurnichialeur mussipontain

Moutet joue les "Caliméros" tout comme son Suzerain l'UMP Henry Lemoine. Il s'érige en victime et tente de faire passer la dénonciation de pratiques "douteuses" (avec un bien curieux  mélange des genres) pour une attaque déloyale de SNI, alors que c'est tout le contraire. 
Il s'adresse à vous par tracts interposés, ça nous devons bien reconnaître qu'il a sur ce sujet une certaine expérience une bonne pratique et un même certain talent...
La complainte du pleurnicheur 
ou
pleurnichialeur  mussipontain


« C’est trooooop injuste… » 
Le Calimero II de la "politique" mussipontaine, celui qui transforme son manque de talent époustouflant en coup du sort permanent, qui s'invente un devenir "national" au mérite est persuadé d’être le meilleur et pourtant il est rattrapé  tout le temps par la triste réalité de son quotidien, c'est  la faute à tout le monde sauf à lui. Mais lorsque l'on a l'outrecuidance de le faire savoir de le dénoncer  c'est une attaque diligentée par une coalition monstrueuse allant de la droite à la gauche.

Nous allons mot à mot analyser ce tissu de mensonges.

Depuis plusieurs mois, j'ai été victime d'une campagne de dénigrement orchestrée par des personnes peu scrupuleuses qui ont essayé de me salir, laissant entendre que j'aurais profité de mon mandat municipal pour voter des subventions à l'Association d'aide aux Chômeurs que j'ai créée en 1984 et que je présideencore aujourd'hui, à titre bénévole.

La "soi-disante campagne" de dénigrement orchestrée par des personnes peu scrupuleuses, c'est en fait la mise au grand jour par un élu de l'opposition des pratiques de  Moutet adjoint au maire, qui en tant qu'élu municipal dirige, organise, participe à l'étude et l'attribution entre autre des subventions (ce qui est normal pour un élu car c'est pour cela qu'il touche tous les mois une indemnité depuis 2008), mais ce qui l'est moins, réside dans le fait que la structure bénéficiant de ces dites délibérations est dirigée aussi par lui en tant que président.
La loi est claire sur le sujet, c'est de la prise illégale d'intérêts. 
Il ne s'agit en aucun cas d'une attaque contre la structure elle même mais simplement le fait de signaler aux autorités une pratique à tout le moins surprenante d'un élu qui soit aussi président de la structure à laquelle la ville dont il est adjoint octroie des subventions.  

Les comptes rendus de deux commissions sont assez clairs et signalent simplement les faits.

Je pense qu'il est temps pour moi de rétablir les faits, pour que vous soyez au courant de ce qui s'estvraiment passé.
M. GIROUX, candidat malheureux et aigri aux élections municipales de 2008, a dénoncé des faits erronés à la Chambre Régionale des Comptes (sans doute à l'URSSAF) et a écrit au Procureur de la République pour porter des accusations contre moi. Fuyant ses responsabilités, il n'a même pas pris la peine d'assister aux différentes audiences du Tribunal, laissant cette tache à son gendre Olivier Postal, tout en demandant à titre personnel 5000€ de dommages et intérêts.

Ces faits erronés, selon  Moutet, ont été portés à la connaissance du procureur de la république par un élu du peuple et  ont  été tous validés et jugés recevables,  car c'est le procureur lui-même qui  a fait citer à comparaître le sieur Moutet devant le tribunal correctionnel de Nancy. C'est le parquet qui dans son réquisitoire, même s'il n'a pas demandé de peine, a clairement dit que l'infraction était constituée sur le plan formel.

On est bien loin d'une dénonciation abusive ou calomnieuse. La demande de dommages et intérêts ne peut se faire que pour la partie civile et non à titre personnel. Pour ce qui est de la présence au tribunal il est vrai que contrairement au sieur Moutet bien entouré de ses soutiens à chaque audience, Paul Giroux n'était pas présent, (Monsieur Giroux lui n'est pas  indemnisé par la commune et doit travailler pour gagner sa vie).

le Tribunal Correctionnel de Nancy, par Jugement du 06 février 2012. m'a relaxé en totalité, donnant tort à M, Giroux.

Le tribunal n'a simplement pas suivi les réquisitions du procureur de la république, et a prononcé la relaxe, cela ne donne en aucun cas tord à M Giroux.

Il faut que vous sachiez que j'ai été victime d'une collusion allant de la droite extrême à certains élus socialistes du conseil municipal de Pont à Mousson, qui ont bâti une alliance cynique contre moi-même et l'association d'aide aux chômeurs que je préside.

Pour ce qui est de la droite extrême, le sieur Moutet sait de quoi il parle car il y a quelques mois  après avoir refusé publiquement de  saluer un élu de la droite nationale lors de cérémonies publiques et commémorations diverses, ce même Moutet donc, en catimini, en privé,  dans l'arrière salle d'un restaurant mussipontain de la place Duroc lui a serré la main et même payé  le café. 
Comme hypocrite on ne fait pas mieux rappelez vous cette tirade dans Tartuffe "Cachez ce sein que je ne saurais voir…" 
Pour la collusion allant de la droite extrême à certains élus socialistes, elle n'existe que dans l'esprit brumeux du sieur Moutet. Si en matière de république le fait de dénoncer et de condamner des faits qui semblent "inopportuns" c'est de la collusion nous, nous  appelons cela la démocratie, l'expression publique et jusqu'à preuve du contraire le délit d'opinion n'existe plus  en France.

Dans les faits, ces personnes me reprochent, ainsi qu'à mes colistiers, de nous être engagés aux côtés de Monsieur le Maire, Henry Lemoine, aux dernières élections municipales dans le cadre d'une liste d'ouverture, dans un seul et unique but, de servir au mieux l'intérêt des Mussipontaines et Mussipontains. Tout le reste n'est que de la politique politicienne qui n'intéresse personne sauf un petit groupe de gens frustrés par la tournure des événements.

Les colistiers de Moutet ? Pour avoir des colistiers il faut avoir été tête de liste, et à notre connaissance Moutet n'a été que 2ème en 2001 sur la liste socialiste.  Nous nous parlerons de transfuges ( en échange d'indemnités mensuelles).
Il est vrai que le principal reproche que certains élus mussipontains d'opposition puissent faire à Jean François Moutet c'est bien d'avoir retourné sa veste en 2008 en compagnie des dits transfuges, pour rejoindre la liste d'Henry Lemoine, après l'avoir critiqué vertement pendant des années et des années. 

C'est bien faire peu de cas de ses convictions antérieures, tout cela pour une  place d'adjoint avec les indemnités qui vont avec, celle de vice président du CCAS, celle de président du foyer de Procheville.
On pourrait faire un joli parallèle entre Jean François Moutet à Pont à Mousson et Eric Besson à Paris qui a abandonné les socialistes pour rejoindre l'UMP, et une charge de ministre.

Pour ce qui est de servir au mieux les mussipontains nous ne voyons pas bien (à moins que le verbe soit conjugué à la forme réfléchie) ?


N'est ce pas aussi le sieur MOUTET qui en campagne lors des cantonales 2011 invitait les gens Place St Antoine à venir chercher une petite aide possible de 300€ au CCAS en leur donnant ses tracts ? 

N'est pas lui encore qui en tant que président du Foyer de Procheville a autorisé l'embauche comme gardien de son militant  pour ces mêmes cantonales ?

Pour ce qui est de la politique politicienne là encore le sieur MOUTET est un expert il suffit de lire le livre d'Yvon Tondon pour s'en rendre compte, un bon nombre de pages lui est conscré.

Par ailleurs, l'agence de Pont à Mousson de l'Est Républicain a joué un drôle de jeu, en jetant mon nom enpâture, en première page « MOUTET poursuivi au Tribunal Correctionnel », sans même mentionner mon prénom. J'ai été sali, humilié ; je ne pense pas avoir mérité cela, moi qui suis engagé dans le milieu associatif et politique depuis plus de 35 ans dans te seul but d'aider les autres.

Moutet s'insurge s'agace contre la presse qui a joué un drôle de jeu selon lui mais qui n'a fait que son travail en relatant des faits assez exceptionnels pour bien figurer dans le journal local. D'ailleurs le presse régionale et même Charlie Hebdo en ont parlé. Mais peut être que la liberté de la presse doit être remise en cause lorsqu'il s'agit de ses actes supposés ? 
Faut-il mettre à l'index l'Est Républicain, mettre ses journalistes en quarantaine ou au pilori ? 
Pour le démocrate, le radical, l'humaniste, le  républicain qu'il se targue d'être c'est assez surprenant cette remise en cause. La liberté  oui mais pas en ce qui me concerne ?  Alors que dans le monde entier on lutte contre des dictatures pour pouvoir s'exprimer, la presse locale ne lui conviendrait-elle pas ?

N'est pas encore ce même Moutet qui se permettait des doigts d'honneur à l'encontre d'une élue ( tiens encore une socialiste) à la sortie d'un conseil municipal en 2009 ? Ainsi que des bras d'honneur en voiture à une autre ?
N'est ce pas encore Jean François Moutet qui aurait agressé verbalement une colistière d'un opposant place Duroc pendant la campagne des municipales  2010 ? Cette agression a fait l'objet d'une main courante déposée au commissariat de Pont à Mousson.

Dans l'affaire de la prise illégale d'intérêt, le juge n'a pas suivi le procureur de la République qui a clairement dit que l'infraction était bien constituée sur la forme, même s'il ne requérait pas de sanction lors de l'audience de février 2012. Il ne s'agit pas d'une attaque contre SNI, ses actions, ses bénévoles et son personnel, mais il est simplement reproché à Moutet  d'avoir lors de deux séances de la commission cohésion sociale pris part aux délibérations, comme semblent le prouver les deux comptes rendus.

Sur le fonctionnement de SNI
 
Nous trouvons simplement bizarre et surprenant que pour  être membre de SNI, il faille "plaire", et montrer patte blanche à son conseil d'administration et à son bureau qui décident sans devoir se justifier qui peut être accepté et qui doit être refusé. 

Cela explique peut être le peu de membres (une  cinquantaine) où l'on retrouve par pur hasard en majorité  des relations "politiques" des proches et des amis de Jean-François Moutet, même sans parler de membres de sa famille …

Est ce républicain, est-ce démocratique et bien normal pour une structure qui existe essentiellement grâce aux subventions publiques ?
On comprend mieux dé lors comment  se fait-il que Jean François Moutet soit à notre connaissance le seul président  depuis sa création en 1984, et qu'il soit encore en exercice, alors que par exemple le pour le poste de trésorier ça a pas mal bougé.
Néanmoins nous nous refusons à apparenter cette pratique avec certaines qui avaient cours en Afrique avec les présidents élus ("démocratiquement")  à vie.


Nous dénonçons le mélange des genres, les doubles les triples casquettes, les conflits d'intérêts. 

Cela n'a rien à voir avec les actions louables de SNI.


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