Démission au seing du PRG, selon nos sources (elles sont très bonnes puisqu'elles proviennent des milieux autorisés comme le disait Coluche "et on s'y autorise à penser"), un ex candidat, fort dépité aurait brigué un poste de responsable départemental dans l'organigramme de son parti le PRG.
Vexé, furieux notre ex candidat donne sa démission. Surprenant pour celui qui nous vantait il n'y a pas si longtemps l'ouverture d'esprit et la tolérance pratiquées par son ex-parti :
"Le parti Radical de gauche à un grand avantage démocratique, en effet il permet à ses adhérents sur certains sujets de société ou proposition de loi d'avoir des opinions différentes, sans pour autant risquer l’exclusion."
Toujours selon nos sources, le choix de la hiérarchie n'aurait été motivé qu'au seul regard des compétences nécessaires pour occuper le poste et la discussion se serait terminée sèchement avec notre dépité par la phrase sans appel : ici on a pas besoin de "pleins-pleins" !
La politique est un monde cruel ! On le savait déjà dépourvu de morale et d'éthique, selon certains, mais on sert une idée, on se mouille, on suit, on soutient une personne, on se couvre de honte, on boit le calice jusqu'à la lie et on est jeté un matin comme un kleenex usagé.
Mais pour notre dépité en quête de parti ou de partie (à se la jouer), il lui reste une possibilité où ses qualités propres seront peut être enfin reconnues à leur juste valeur : l' U D I
Avec le parti de Jean Louis Borloo, il restera en famille, car Borloo était l'avocat conseil de Bernard Tapie membre en 2010 du PRG. Ce parti fait recette actuellement grace à l' U M P :
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