Selon la plus haute instance de la Fédération de Lorraine du PRG, monsieur Xavier Bertelle candidat dépité dans la VIème circonscription du 54 ne serait pas à jour de cotisation et donc statutairement parlant il ne peut plus prétendre au titre de membre du PRG.
Alors il a démissionné de quoi ? D'un parti auquel il n'appartenait plus ? De fonctions qu'il n'avait pas ? Pas de quoi en faire un article ne trouvez vous pas ou du moins pas dans le sens qui fut le sien ?
Pour ce qui est de la lettre de soutient de JM Baylet qui l'aurait encouragé à se présenter à la présidence, elle n'a jamais existé et Xavier Bertelle sera bien en mal, (toujours selon nos sources la fédération), de nous prouver le contraire en la montrant (sauf à présenter un faux grossier)!
Enfin toujours selon la fédération, ce candidat qui fait moins de 2%, est plus connu pour ses frasques nocturnes, sa fréquentation des divers tribunaux que pour ses qualités politiques intrinsèques, il soutient activement, qui plus est, la politique UMP d'Henry Lemoine et il passe son temps à taper (au propre comme au figuré) sur les candidats socialistes locaux. Ce type de candidat n'a donc plus sa place chez nous, ni comme cadre, ni comme militant et son investiture a été une erreur.
Misère de misère le cercle de Pont à Mousson est en train de se sublimer ! Bientôt Jean-François Moutet devra faire comme Victor Hugo dans Ultima Verba* et déclamer à haute voix (une des onze qui restent encore à Pont à Mousson) :
Si l'on est plus de mille, eh bien, j'en suis ! Si même
Ils ne sont plus que cent, je brave encore Sylla;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là!
Ils ne sont plus que cent, je brave encore Sylla;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là!
* poème tiré des Châtiments, recueil écrit lors de son exil à Jersey en 1852, où Victor Hugo y réglait ses comptes avec l'empereur Napoléon III.
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