Noël Guérard, lors des élections cantonales.
Depuis cette sortie de route électorale, rien ne va plus dans le fonctionnement de la droite mussipontaine.
Adhérent à l’UMP
mais sabrant systématiquement le travail de son parti dans sa ville et sur l’ensemble du bassin mussipontain,
écartant tous les membres de sa famille politique qui pourraient peser quelque peu,HENRY LEMOINE a réussi à faire le vide autour de lui.
Vide qu’il a choisi de combler en s’accoquinant avec Jean-François Moutet,
le plus virulent de ses opposants historiques. Or, en mettant en œuvre ces choix politiques douteux, ce n’est plus une balle dans le pied qu’il s’est collé, c’est une cartouchière.
En effet, depuis 2008, les résultats parlent d’eux mêmes : une veste aux cantonales, une autre aux régionales, une pile à la présidentielle, et une volée aux dernières législatives , le bilan de sa stratégie pour sa famille politique est sans appel.
Et si vous ajoutez à cela les affaires politico-financières (incriminant le maire ou l’un de ses proches) qui s’amoncellent sur le bureau du procureur de la République depuis 5 ans
et qui font régulièrement le gros titres de la presse locale (et même parfois nationale),
vous comprenez aisément que sa faillite est finalement plus encore morale que politique.
D’ailleurs le candidat UMP Stéphane Pizelle
ne s’y est pas trompé : en analysant ses résultats des législatives devant les micros de France 3, il n’a pas manqué d’associer à sa cuisante défaite Henry Lemoine avec qui,je cite il « travaille en tandem sur la ville de Pont-à-Mousson »
et avec qui ils ne font pas « le score attendu ».
Une analyse des plus pertinentes.
que de faire du tandem avec Henry Lemoine est une activité qui finit toujours mal.
EN PLEINE DISCUSSION AVEC LE MAIRE POUR
FORMER UN NOUVEAU TANDEM.
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