VERITE

"Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent." André Gide

"Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité." Jules Renard

"La vérité est le soleil des intelligences." Luc de Clapiers

"Je me sens parfaitement honnête homme, c'est-à-dire dévoué, capable de grands sacrifices, capable de bien aimer et de bien haïr les basses ruses, les tromperies."

La vérité n'est pas faite pour consoler comme une tartine de confitures qu'on donne aux enfants qui pleurent. Il faut la rechercher, voilà tout, et écarter de soi ce qui n'est pas elle.

G. Flaubert

"Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité." Charles De Gaulle (Mémoires)

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mercredi 1 juin 2011

Partie Civile au proces Chirac

Un particulier veut représenter la ville de Paris au procès Chirac

Julien Bayou, conseiller régional d'Europe Ecologie-Les Verts, a décidé de se porter partie civile au nom de "tous les contribuables parisiens" dans l'affaire des emplois présumés fictifs.

Entretien avec Julien Bayou, conseiller régional d'Ile de France (Europe Ecologie) et militant des collectifs "Sauvons les riches" et "Anticor". Nouvelobs.com
 
La mairie de Paris ne se présentera pas au procès Chirac ? Il ira à sa place. Membre du collectif de "Sauvons les riches" et conseiller régional d'Europe Ecologie-Les Verts, Julien Bayou a décidé de se porter partie civile au nom de "tous les contribuables parisiens"  dans l'affaire des emplois présumés fictifs. Le jeune homme, âgé de 30 ans, avait déjà demandé début février au tribunal administratif de Paris l'autorisation de plaider à la place de la municipalité. En l'absence de réponse, Julien Bayou a annoncé vendredi 5 mars qu'il se présenterait au procès qui s'ouvre lundi en tant que "partie civile à titre conservatoire", "jusqu'à ce que le tribunal se décide". D'après son avocat, la juridiction a en effet deux mois pour se prononcer, alors que le procès doit s'achever le 4 avril.

"Un mauvais signal"


La mairie de Paris avait renoncé en septembre 2010 à se porter partie civile dans cette affaire qui porte sur 21 emplois présumés de complaisance, rétribués entre 1992 et 1995 sur les fonds publics alors que Jacques Chirac était maire de Paris. Après un protocole d'accord voté par le Conseil de la ville, l'UMP et l'ancien président de la République s'engagent à indemniser la municipalité à hauteur de 2,2 millions d'euros, contre son retrait du procès. Un arrangement que refuse Julien Bayou, qui dénonce "un très mauvais signal envoyé à la population" et craint que le procès "ne fasse pschitt".

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