Monsieur Ayrault doit se sentir bien seul par les temps qui courent. Lâché par le sénateur maire de Dijon qui ne veut pas de la règle du non cumul des mandats, il l'est aujourd'hui par Monsieur Peillon qui demande haut et fort la légalisation du canabis.
Plus près de nous, le premier ministre a été désavoué par notre député Jean Yves Le Déaut qui ne trouvait, vendredi dernier, pas de mots assez forts pour critiquer le projet du Gouvernement de taxer la bière. Mais ça c'était avant hier, chez les brasseurs de Lorraine. Il sera intéressant de voir, au soir du vote du budget, dans quel sens ira le député de Meurthe et Moselle.